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-- skip to content facebook twitter pinterest google plus email , la revue culturelle critique qui fait des choix s la revue culturelle critique qui fait des choix s menu guide critiques danse théâtre design architecture reprises d’alain robbe-grillet arts plastiques bd audio photo livres le genre idéal cinéma caméras suggestives musiques chroniques chefs-d’œuvre retrouvés de la littérature érotique je me tais et je vais vous dire pourquoi s’il vous manque une case… le coin des traîtres le nombre imaginaire portraits de voix lyriques la branloire pérenne footbologies le monde est devenu fou, chronique littéraire ordonnances littéraires chroniques avéryennes l’amérique de… 2017, année terrible délib‘euro chroniques scarlattiennes sciences du fait-divers chanson de gestes courrier du corps bentô expos gregg ellis entomologie photographique roms, ville fermée trotsky, photos inédites abécédaire vu par clo’e histoires les aventures de tigrovich, tigre, prince et artiste (no-)go zone ment… présidentielle ment… trump rodolfo walsh roque dalton, correspondance clandestine trotsky, photos inédites diogène en banlieue un regard de biais sur l’occupation paco ignacio taibo ii : sept histoires de la mémoire c’était une république, mais… promenade au bois sur les traces des camisards l’espion aux sept maisons l’écrivain que personne n’a lu maurice clavel, bonsoir ! degré zéro: chronique d’un marcheur urbain ? contact newsletter qui sommes-nous ? anciens numéros rechercher... plus de résultats... generic filters filter by custom post type disparition michel butel, mort d’un poète par édouard launet on annonce la mort de michel butel, à l’âge de 77 ans. c’est une très mauvaise nouvelle. la presse perd son dernier poète, et ses amis un type formidable. il était malade depuis des mois, avait du mal à respirer, mais jusqu’à son dernier souffle il a défendu l’idée que l’on devait faire des journaux comme des œuvres d’art. il est bien le seul à y être parvenu. portrait rédigé en 2011 alors que butel se préparait à lancer son tout dernier journal, l’impossible, après avoir présenté sa candidature à la direction du monde. (lire le portrait) ordonnances littéraires wislawa szymborska, pour les vivants et pour les autres par nathalie peyrebonne le service de médecine littéraire, après des débuts tâtonnants et expérimentaux, se dote d’un support théorique important, d’un arsenal thérapeutique plus étayé. bref, nous avançons. l’ordonnance littéraire de la semaine : de la mort sans exagérer , des vers écrits par wislawa szymborska, préfacés et traduits du polonais par piotr kaminski, prescrits à un squelette, mais pas que : elle ne sait même pas faire / ce qui directement se rapporte à son art : / ni creuser une tombe, / ni bâcler un cercueil, / ni nettoyer après. (lire l’article) audio / podcasts quand le porno met sa claque à musso par stéphanie estournet la fiction hot audio d’olympe de g, l’appli rose – dix épisodes inscrits dans l’intimité sensuelle de l’audio –, est en tête des ventes de la plateforme audible, devant les traditionnels best-sellers. un succès qui confirme l’intérêt du public pour une autre forme de récits explicites. (lire l’article) festival d’avignon les dossiers de la scène : l’affaire wikileaks par rené solis wikileaks, bradley/chelsea manning, julian assange… dans le flux continu de l’information, les mots sont familiers et flous. c’était quand déjà ? et julian assange, qu’est-ce qu’il devient ? au fait, pourquoi faire une pièce de théâtre avec ça ? quels fils tirer ? qui ça peut encore intéresser ? le metteur en scène étienne gaudillère a fait de cette histoire la matière de pale blue dot , son premier spectacle. une plongée dans l’histoire récente – l’année 2010 – qui montre l’articulation entre l’intime et le planétaire, avec deux personnages principaux : le soldat manning, qui s’emmerde dans le désert irakien, chatte sur internet, et va balancer des dizaines de milliers de documents confidentiels, et julian assange, fondateur de wikileaks et chevalier blanc de la liberté d’informer, rattrapé par la mégalomanie et la paranoïa. (lire l’article) reprises d’alain robbe-grillet miroirs et cérémonies arlène berceliot-courtin et sinziana ravini entretien avec lison noël l’une est une fidèle lectrice d’alain robbe-grillet. l’autre est une lectrice passionnée de catherine robbe-grillet. un intérêt commun pour le couple robbe-grillet en guise de point de départ d’une discussion foisonnante entre deux curatrices qui pensent l’écriture autant que l’exposition, font un usage jubilatoire de la référence interdisciplinaire, interrogent l’autorité du curateur, la dictature du white cube comme la démocratie dans l’exposition et lèvent un coin de voile sur leurs désirs d’expositions futures. (lire l’entretien) guardar guardar guardar guardar les aventures de tigrovich, tigre, prince et artiste pendant ce temps au village de p. par sophie rabau entre sciure et gloire, passion torride et labeur acharné, espoir et désillusion, satin rose et mer bleue, le prince tigrovich saura-t-il triompher des innombrables embûches qui guettent inévitablement l’artiste en chemin vers la beauté ? pour l’instant il a suffi d’un cirque installé dans le village de p., à l’occasion de la fête de l’huître, pour que tigrovich trouve l’amour et sa vocation. envoûté par la belle emma romanès-volkovitch, écuyère et autres qualités, il a quitté sans se retourner les gentils humains du village de p. qui l’avaient adopté.e. (lire le quatrième épisode : “pendant ce temps au village de p.” ) le nombre imaginaire aux quatre coins du temps par yannick cras un espace à trois dimensions est le premier dans lequel on puisse faire un nœud ou inventer la vis, ce qui n’est pas rien. mais passons et dirigeons-nous vers l’espace à quatre dimensions. là, il est impossible de ne pas parler en premier lieu du temps, la quatrième dimension par excellence, enfant chérie des auteurs de science-fiction. l’univers de la relativité, le fameux espace-temps, est ainsi un monde à quatre dimensions – trois d’espace et une de temps. ce monde est régi par une géométrie particulière, où il existe des équivalences entre espace et temps, chaque observateur ayant son propre espace et son propre temps. c’est ce qui explique qu’un hypothétique vaisseau spatial voyageant à une vitesse proche de celle de la lumière nous paraîtrait raccourci dans le sens de la longueur, avec un équipage vivant au ralenti… (lire l’article) architecture l’aura de goutelas par anne-marie fèvre dans les années 1960, une extraordinaire aventure bénévole a permis de rénover ce château renaissance en ruines. devenu centre culturel en pays rural du forez, il continue sa mission de rencontres et de culture, d’abris de fortune en expositions autour des savoir-faire locaux. àl’ombre de légendes passées – le roman l’astrée ou une symphonie de duke ellington. et à l’orée d’un nouvel élan à retrouver, dans l’esprit humaniste de goutelas. (lire l’article) entomologie photographique eugène par gilles walusinski eugène carrière avait cinquante-sept ans le jour où nadar éclaira les draps blancs de son lit de mort. “s’il est un devoir pénible dans la photographie professionnelle , écrivait nadar, c’est l’obligée soumission à ces appels funéraires – qui ne se remettent pas…” le temps a eu raison de ce devoir-là ; peut-être l’évolution des techniques permettra-t-elle bientôt au photographe de se selfier sur son lit de mort. (lire l’article) (no-)go zone cité radieuse par thomas gayrard comme l’enfer l’est de bonnes intentions, le ghetto est pavé de bonnes volontés. sur ces mêmes trottoirs de misère et de violence où nous avons slalomé entre putes et toxs, reviens au point de départ, et s’il te faut y croire à nouveau un jour de déprime, suis plutôt le chemin de choix qu’ont tracé âmes généreuses et cœurs vaillants sur le goudron de la goutte d’or. te voilà parti pour un voyage sans fin, à relier les fils de ce réseau invisible qui tresse si impressionnant maillage